Le calme est revenu, Ferrette vit paisiblement au rythme des occupations de chacun, jusqu’à ce que le crieur de la ville vienne annoncer sur la place publique qu’Eloïse va prochainement se faire adouber. La population s’agite, tout le monde veut participer à ce grand jour, et même Jeanne de Landskron, l’idole de notre héroïne, lui propose son aide pour choisir sa tenue.
La journée promet d’être grandiose ! Tous les notables du comté de Ferrette sont conviés, les chevaliers des contrées avoisinantes arrivent en grande pompe et font des offrandes au comte en paradant. Les festivités commencent dans la bonne humeur avec une joute amicale entre les chevaliers. Chacun veut montrer ce dont il est capable pour impressionner tout ce beau monde !
Quand la cérémonie commence officiellement, Eloïse se voit attribuer symboliquement les différentes pièces d’armures. Mais au moment de recevoir la dernière pièce, son épée, Eras qui veut toujours s’emparer de la ville, lance une violente attaque : bélier, cavaliers, combattants… tout est bon pour s’emparer du château ! Eloïse, ébahie, se saisit de l’épée qu’elle était sur le point de recevoir, et se lance dans un combat acharné contre son ennemi tenace. L’affrontement se termine par la mort d’Eras. Les noirs, privés de leur chef, battent en retraite.
Ferrette retrouve son calme, l’adoubement est alors prononcé jusqu’au bout. Eloïse reçoit son épée, et devient un chevalier reconnu de la garde de Ferrette.